Le film «The Social Network» de David Fincher, qui sera présenté au New York Film Festival le mois prochain, inspiré du célèbre réseau social Facebook ne plaît pas aux directs intéressés. Mark Zuckerberg, le milliardaire de 26 ans, à l'origine du site de socialisation, craint en coulisses que le film puisse écorner son image et celle du site devenu l'un des phénomènes les plus importants du web.
Après s'être longtemps demandé comment répondre à l'initiative de créer une œuvre cinématographique sur l'histoire de Facebook, les responsables de Facebook ont opté pour ignorer le film et espèrent que le public en fera de même, explique le «New York Times». Le film, considéré de «mensonger» par Mark Zuckerberger, montre que la création de Facebook repose notamment sur une série de trahisons et de mensonges et dépeint ses utilisateurs assoiffés par l'envie de collectionner les «amis», des personnes qui ne le seront vraiment jamais à la fin. Le roman sur lequel se base le long-métrage avait d'ailleurs lors de sa sortie été décrit par son attaché de presse non comme un «reportage» mais comme d'une «grande poilade».
«C'est fou parce que tout d'un coup Mark devient cette personne qui a créé Facebook pour avoir des filles et gagner du pouvoir», a déclaré Chris Hughes, co-fondateur du site de socialisation, qui a quitté ce dernier en 2007 pour rejoindre la campagne d'Obama. «Ce n'est pas ce qui s'est passé. C'était un peu plus ennuyeux et trivial.»
Le producteur du film Scott Rudin a de plus déclaré que deux cadres supérieurs de Facebook «ont vu le film il y a un moment et ils ne l'ont pas aimé». Ce dernier a précisé avoir permis au site de socialisation de lire le script et d'apporter de légères modifications. Mais pas assez selon les responsables de Facebook. «En fin de compte, nous avons fait exactement le film que nous voulions», a déclaré le producteur.
Après s'être longtemps demandé comment répondre à l'initiative de créer une œuvre cinématographique sur l'histoire de Facebook, les responsables de Facebook ont opté pour ignorer le film et espèrent que le public en fera de même, explique le «New York Times». Le film, considéré de «mensonger» par Mark Zuckerberger, montre que la création de Facebook repose notamment sur une série de trahisons et de mensonges et dépeint ses utilisateurs assoiffés par l'envie de collectionner les «amis», des personnes qui ne le seront vraiment jamais à la fin. Le roman sur lequel se base le long-métrage avait d'ailleurs lors de sa sortie été décrit par son attaché de presse non comme un «reportage» mais comme d'une «grande poilade».
«C'est fou parce que tout d'un coup Mark devient cette personne qui a créé Facebook pour avoir des filles et gagner du pouvoir», a déclaré Chris Hughes, co-fondateur du site de socialisation, qui a quitté ce dernier en 2007 pour rejoindre la campagne d'Obama. «Ce n'est pas ce qui s'est passé. C'était un peu plus ennuyeux et trivial.»
Le producteur du film Scott Rudin a de plus déclaré que deux cadres supérieurs de Facebook «ont vu le film il y a un moment et ils ne l'ont pas aimé». Ce dernier a précisé avoir permis au site de socialisation de lire le script et d'apporter de légères modifications. Mais pas assez selon les responsables de Facebook. «En fin de compte, nous avons fait exactement le film que nous voulions», a déclaré le producteur.